
La qualité des plants:
Malheureusement, les résultats obtenus par la très grande majorité des trufficulteurs en France depuis quelques dizaines d’années ne suivent pas et les rendements sont faméliques voire inexistants trop souvent…
Il est donc primordial pour le pépiniériste de mettre en oeuvre une qualité et une quantité de truffe cohérente pour mycorhizer ses plants.
Nous ne sommes pas encore entré dans un processus de certification jusqu’ici mais envisageons de le faire dès que les organismes concernés nous en donneront l’autorisation.
Nombreux trufficulteurs en France contrôlent d’ailleurs eux même et très facilement ces mycorhizes avec leurs microscopes.

Une analyse biomoléculaire est-elle nécessaire pour valider la nature de la truffe utilisée pour mycorhizer ?
Peut-être cela permettra-t’il d’éviter les trop nombreuses contaminations pas truffes brumales et truffes d’été dans les plantations de melanosporum comme nous en constatons tant depuis de trop longues années.
Pour l’instant, nous avons fait le choix pour notre part de sélectionner une à une les truffes mises en œuvre pour la mycorhization non seulement pour ce qu’elles sont mais aussi et surtout pour leur maturité… (c’est sans doute là notre principale spécificité).